Salut @Rémi RICHE – DataIPA Lyon,
Voici mes réponses, qui n’engagent que moi bien sûr… 😉
Q1. Je confirme ce que @Theophile CHIN-NIN suggère : les docs on les mets dans SharePoint. En plus ça ne mangera pas tes quotas Dataverse.
Q2. Je dirais que ça dépends de la part que ton application va éventuellement utiliser de D365 Sales. Si c’est juste pour choper 2 ou 3 champs ça vaut pas le coup. Autant utiliser les tables natives classiques Dataverse et créer quelques tables customs.
Q3. Pour la génération des rapports PDF j’ai une petite préférence pour Power Automate. Avantage : tu fais quasiment ce que tu veux au niveau contenu (formattage, images, blocs de répétition dynamiques, etc.). Tu génères tout en HTML puis tu utilises le convertisseur gratuit de Power Automate. Par contre, faut se coller l’HTML pour la mise en forme.
Je faisais du Word avant et je trouve ça vraiment très galère à mettre en place : faut une bibliothèque de doc avec un type de contenu qui contient les champs des données que tu veux y insérer ; faut éditer ton modèle de doc pour y mettre les champs ; dès qu’il s’agit d’images et de blocs répétitif c’est l’enfer. Le seul avantage que j’y vois c’est que le formatage y est plus facile évidemment.
Q4. Alors là il faut voir comment tu comptes déterminer qu’un document est “lisible”. Est-ce que si tu y appliques un p’tit coup d’OCR et que tu récupères du texte (ne serait-ce qu’un seul mot) tu considères que c’est bon ou alors il te faut un minimum de mots ? Si ce sont toujours les mêmes types de documents et qu’il y a des mots répétitifs ou des mots-clés précis qui permettent de déterminer que le document est bien celui qu’il fallait scanner alors ça peut être intéressant. L’OCR est une bonne idée puisqu’il n’arrivera pas à reconnaître le texte si la photo est floue (par contre si elle est coupée… plus difficile à détecter). Mais jusqu’à quel point sera-t-il précis ?!? Du coup, je pense qu’une combinaison du Text Recognition et du Key Phrase Extraction de AI Builder pourrait donner des résultats intéressants. Après, y’a toujours la solution d’entraîner une IA à détecter qu’une photo d’une feuille de papier ne sorte pas du cadre… Marrant à faire ! 😉
Q5. Est-ce que tu veux absolument une VRAIE signature électronique avec un identifiant unique généré par un organisme certifié ? Parce-que ce que je fais en général c’est que sur application Power Apps canvas je mets un composant Pen Input et je laisse l’utilisateur signer avec le doigt. Ensuite j’enregistre l’image de cette signature avec la donnée correspondante (facture, rapport, etc.). Avantage : c’est gratos.
Q6. Voir commentaire de @Theophile CHIN-NIN.
Q7. Oui bien sûr. Attention une application qui exploite le mode off-line doit être conçue et développée dans ce but DES LE DEPART. Transformer une application classique en application supportant le off-line c’est l’enfer. Donc il faut décider avant de commencer les dév. Une application qui autorise le mode off-line a une logique différente d’une app classique : au lancement elle vérifie si elle est connectée, si c’est le cas elle va chercher les données en base et met à jour ses données locales, si ce n’est pas le cas elle ne prend que les données en local, elle regarde ensuite s’il y a des données en attente de synchro et si c’est le cas elle synchronise, etc. etc. Pour ce qui est du problème de volumétrie, tu ne seras limité que par la mémoire ou l’espace disponible sur le device qui exécutera l’application. Jette à un œil à cet article :
Ca me fait penser d’ailleurs, qu’à la rigueur, les images aussi je les stockerais sur SharePoint car elles ne mangeront pas non plus tes quotas Dataverse du coup.
Q8. Voir Q1… 😉
En espérant que ça t’aide à prendre les bonnes décisions… 🙂
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